Compte rendu de la réunion du 1/10/10 à TOULOUSE

Compte rendu de la réunion du 1/10/10 à TOULOUSE

1. Nomination d’un collectif à la tête de la régionale.

            En effet, après vérification des statuts de l’association, 6 membres désignés assureront la gestion de la régionale de Toulouse. Ce sont : Jean-Pierre Malrieu, Charlotte Farge, Marie Quemard, Anne Faillefer, Freançois Jeanningros et Cédric Valena.

Frédéric COMBELLE reste trésorier de l’association au niveau académique

Pour les adhésions :

Frédéric COMBELLE

1ter boulevard Flaugergues

12000 Rodez

2. La situation de l’APSES dans l’académie

            Le constat est contrasté: Manque de visibilité

Pourtant, l’association a participé à la défense des SES (retrait projet Darcos, aménagement du nouveau programme de seconde…)

            Nous sommes actuellement 29 adhérents sur l’académie, ce qui est trop peu pour pouvoir faire entendre notre voix puisque le nombre de représentants dépend du nombre d’adhérents…

            Idée : Créer un bulletin d’information, Une gestion plus collective (présence alternée à PARIS…)

3. La situation en seconde

            Situations très différentes d’un lycée à un autre (effectif réduit ou pas, TD ou pas, 1h30/semaine ou 1h une semaine et 2h l’autre semaine etc.)

UNANIMITE sur le caractère infaisable en termes de temps du programme de seconde compte tenu de la structure.

4. Programme de première

            UNANIMITE pour dire que ce programme est INACCEPTABLE et INAPPLICABLE en l’état  pour des élèves découvrant cet enseignement notamment la première partie  théorique/normative…

            Quelques notions sont très subversives notamment « le chiffre noir de la délinquance » et d’autres souffrent d’un manque de légitimité scientifiques (déviance primaire/secondaire….)

Le débat a porté sur les modalités d’action notamment pour porter à l’AG de Paris du 16/10 la position suivante :

Aménagement du programme de première ( Question 1/notions telles que " le chiffre noir de la délinquance")

CONCLUSION : La reconstitution d’un tissu local est indispensable pour faire peser nos positions et défendre un enseignement qui est trop souvent au centre de polémiques non fondées (Rapports anciens/Pébereau, Gattaz) mais aussi pour faire changer la vision de l’Aspes qui souffre d’une mauvaise image auprès de certains collègues.